Critique constructive

Suite à la présentation du concept, dans un premier temps, une critique constructive est demandée "à chaud" aux acteurs visant à énumérer les aspects positifs et les aspects négatifs au regard de leurs besoins pour construire une partie de leurs systèmes d'information.

Aspects positifs

Voici les qualités perçues par les acteurs déclarées spontanément : Voici les aspects positifs selon le secteur d'activités :

Thèmes
Aspects positifs
82
Secteur
Capacité de confidentialité
Capacité de flexibilité / de modularité
Capacité de réactivité / de souplesse
Capacité d'interopérabilité
Concept global intéressant / séduisant / original
Encapsulation de l'existant
Machine virtuelle métier et technique
Mise en oeuvre incrémentale
Modèle de commercialisation
Modèle métier du système d'information
Pragmatisme
Ressemble à l'approche Framework d'IBM
Standardisation
Technologie
BnADisEneIndIngMédPréSanSerSrPTélTraTotal
0001000000001
10011122020010
1001001103018
2010010011006
21272110222224
0000000111014
10031000142012
0000010011003
0001000001002
0011101011017
0001000000001
0100000000001
0000001100002
0000000010001
Ratio
1 %
12 %
10 %
7 %
29 %
5 %
15 %
4 %
2 %
9 %
1 %
1 %
2 %
1 %

Ce qu'il faut retenir :
Les trois principaux macro-aspects positifs sont les suivants :

Aspects négatifs

Pour énoncer les aspects négatifs, les acteurs se mettent naturellement dans une position d'achat. L'interview à but marketing se transforme momentanément en démarchage commercial, avec challenge à l'initiative des acteurs. Voici les réserves perçues par les acteurs déclarées spontanément : Voici les réserves selon le secteur d'activités :

Thèmes
Aspects négatifs
71
Secteur
Ambitieux, d'avant-garde, voire trop
Architecture propriétaire
Complexité de l'offre pour les petits comptes
Difficile à mettre en oeuvre dans l'existant
Manque de capacités de l'entreprise
Manque de composants au départ
Manque de différenciation par rapport aux ERP
Manque de service
Manque l'intégration de la bureautique
Manque de réalisme sur la modélisation métier
Manque de réalisme sur le devenir de l'open source
Manque de réalisme sur l'intégration des technologies
Mauvais choix technologique
Mode de commercialisation trop coûteux
Nécessité d'une décision politique pour le choix
Pas de besoin
Pas pour ce secteur d'activités
Pérennité de la technologie
Performance et stabilité de la technologie
Positionnement mal compris
Programmation automatique irréaliste
BnADisEneIndIngMédPréSanSerSrPTélTraTotal
0000100101036
0000000102025
0000100001002
1002101000106
0110002010005
0010000010002
1002000000104
1000010000002
0001000000001
0000110012016
0000000001001
0000000000011
0000000000101
0000000011002
0001100000002
0001000001013
0000000001001
0110001012006
0003002000106
0014000001017
0010100000002
Ratio
8 %
7 %
3 %
8 %
7 %
3 %
6 %
3 %
1 %
8 %
1 %
1 %
1 %
3 %
3 %
4 %
1 %
7 %
9 %
10 %
3 %

Ce qu'il faut retenir :
La première macro-critique est un classique de toutes solutions innovantes : le manque de confiance - 46 % - qui se caractérise par la faisabilité technique, fonctionnelle ou économique.

La seconde macro-critique est une difficulté à communiquer sur le concept qui est qualifié d'avant garde - 21 % -, ce qui nuit soit à se différencier des progiciels génériques, des technologies du moment ou soit à susciter le besoin.

La troisième macro-critique émise par les acteurs ayant le mieux compris le concept est une difficulté à le mettre en oeuvre dans leur schéma directeur - 21 % -, soit pour une raison politique, soit par manque de composants, soit par manque de service ou soit pour une raison budgétaire.

Alors que plus de 50 % des acteurs sont séduits par le concept, seulement 5 % déclarent qu'ils n'en auraient pas l'utilité.